Les premiers contacts entre les deux pays se réfèrent aux dix-septième et dix-huitième siècles, lorsque le roi français Louis XIV envoya des prêtres jésuites établir des contacts avec l'empereur Kangxi et essayer de contrebalancer l'influence de l'Empire ottoman dans la région occidentale (LI, Chien-nung; TENG, Ssu -yu; Ingalls, Jeremy, 1956).
Après de nombreux échanges importants, que ce soit dans les sciences ou dans l'architecture, le père jésuite Joseph-Marie Amiot a commencé à gagner une grande influence sur l'empereur devenant ainsi son traducteur officiel (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
En 1844, nous avons célébré le premier traité entre les deux nations. Le traité de Whampoa était fondamentalement une demande des Français afin d'avoir accès aux mêmes droits irrationnels que les Anglais pour explorer le territoire chinois sans limites (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
Au XXe siècle, la France faisait partie de la Coalition des Huit nations qui a envahi le territoire chinois pour mettre fin à la rébellion des Boxers. Après la Rébellion, plusieurs étudiants chinois ont décidé de partir étudier en France, puis ont créé la Société Franco-Chinoise d'éducation. Certains travailleurs se sont également déplacés en France pour travailler en tant que salariés. Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, la France ne reconnaissait pas la République Populaire de Chine comme légitime de par la politique communiste. Cette politique n'était pas en accord avec celle des Etats Occidentaux.
Les relations commerciales entre la France et la Chine ont toujours été très faibles, surtout après le discours de l'ancien président Nicolas Sarkozy au sujet de l'absence de droits de l'homme en Chine. La conséquence fût un gel des relations commerciales. (EKMAN, 2015).
Officiellement, les relations commerciales entre la Chine et la France sont sur le point d´être rétablies après la mise en place d'un programme appelé «partenariat global» par Jacques Chirac en 1997 (Ekman, 2015).
Les premiers contacts entre les deux pays remontent aux XVIIè et XVIIIè siècles, lorsque le roi français Louis XIV envoya des missionnaires jésuites établir des contacts avec l'empereur Kangxi et contrebalancer l'influence de l'Empire ottoman dans la région occidentale (LI, Chien-nung; TENG, Ssu -yu; Ingalls, Jeremy, 1956).
Après des échanges majeurs que ce soit dans les domaines des sciences ou de l'architecture, le père jésuite Joseph-Marie Amiot commença à gagner une grande influence sur l'empereur devenant ainsi son traducteur officiel (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
En 1844, fut célébré le premier traité entre les deux nations. Le traité de Whampoa était une demande fondamentale des Français afin d'avoir accès aux mêmes privilèges illimités que les Anglais pour l'exploitation du territoire chinois (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
Au début du XXè siècle, la France faisait partie de l'Alliance des huit nations qui envahit le territoire chinois et mit fin à la rébellion des Boxers. Après la rébellion plusieurs étudiants chinois décidèrent d'aller étudier en France, où ils créèrent la Société franco-chinoise d'éducation. Certains travailleurs émigrèrent également en France pour y travailler en tant qu'ouvriers. Durant la période allant de la Seconde Guerre mondiale à l'après guerre, la France ne reconnaissait pas la République populaire de Chine, dont le gouvernement communiste exaspérait les états occidentaux.
Les relations commerciales entre la France et la Chine ont toujours été très minimales, surtout après les commentaires de l'ancien président Nicolas Sarkozy au sujet de l'absence de droits de l'homme à laquelle la Chine doit faire face, ce qui fait que les échanges commerciaux entre les deux pays ont été gelés (EKMAN, 2015).
Officiellement, les relations commerciales entre la Chine et la France sont sur le point d´être rétablies suite à la mise en place du «partenariat global» signé par Jacques Chirac en 1997 (Ekman, 2015).
Les premiers contacts entre les deux pays se reportent aux dix-sept et dix-huitième siècle, lorsque le roi français Louis XIV envoya des prêtres jésuites établir des contacts avec l'empereur Kangxi pour contrebalancer l'influence de l'Empire ottoman dans la région occidentale (LI, Chien-nung; TENG, Ssu -yu; Ingalls, Jeremy, 1956).
Après ces grands échanges qui influencèrent tant les sciences que l'architecture, le père jésuite Joseph-Marie Amiot commença à gagner une grande influence sur l'empereur devenant ainsi son traducteur officiel (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
En 1844, nous avons inauguré le premier traité entre les deux nations. Le traité de Whampoa consistait essentiellement en une demande des Français d'avoir accès aux mêmes droits que ceux des Anglais, soit celui d' explorer le territoire chinois de façon illimitée (LI, Chien-nung, TENG, Seu-yu, Ingalls, Jeremy, 1956).
Au XXe siècle, la France faisait aussi partie de la Coalition des Huit nations qui a pénétré le territoire chinois pour mettre fin à la Révolte des Boxers. Après la rébellion, un certain nombre d' étudiants chinois ont décidé d'étudier en France, pour ensuite créer la Société Franco-Chinoise d'éducation. Certains travailleurs se sont également déplacés en France pour travailler en tant que salariés. Au moment de la Seconde Guerre mondiale ainsi que dans la période post-guerre, la France se refusait à reconnaître officiellement la République populaire de Chine, par exaspération face au régime communiste.
Les relations commerciales entre la France et la Chine ont toujours été très peu denses, de surcroît après les allégations de l'ancien président Nicolas Sarkozy à propos de l'absence de droits de l'Homme en Chine. Depuis, les échanges commerciaux entre les deux pays sont gelés (EKMAN, 2015).
Officiellement, les relations commerciales entre la Chine et la France sont sur le point d´être rétablies grâce à l'application d'un programme appelé «partenariat global» mis en place par Jacques Chirac en 1997 (Ekman, 2015).